Il y a un seul corps et un seul Esprit - Ephésiens 4: 4

Le Seigneur Jésus, avant sa mort et après sa résurrection, avait parlé à ses disciples de la promesse du Père de cet «autre Consolateur» qui devait venir, donné par le Père et envoyé par le Fils (Jean 14; 15; 16). «Il vous est avantageux que moi je m'en aille: car si je ne m'en vais, le Consolateur ne viendra pas à vous, mais si je m'en vais, je vous l'enverrai». Pour Jésus, les disciples avaient tout abandonné, et Jésus avait été bien plus que tout pour eux. Mais Jésus allait maintenant les quitter; et qu'est-ce qui pouvait transformer une perte si grande et douloureuse en un gain positif? Le Seigneur le dit Lui-même: la présence du Saint Esprit envoyé du ciel en conséquence de sa propre glorification (comp. Jean 7: 39, 40; Actes des Apôtres 2: 33) Il est manifestement impossible d'appliquer les passages de l'Ecriture cités plus haut et d'autres semblables, à autre chose qu'à la présence personnelle de l'Esprit. Ailleurs, l'Ecriture développe les effets et les manifestations de la présence de l'Esprit; ce n'est pas de cela qu'il est question ici, comme il est impossible également d'imaginer une puissance spirituelle qui pût l'emporter, dans les disciples, sur la consolation que la présence de Jésus avec eux leur apportait. Mais l'Esprit, personnellement, était promis. Les disciples n'avaient pas la promesse de la consolation seulement, mais du «Consolateur» lui-même, de cette personne qui a pu nous être dépeinte comme enseignant, comme remettant en mémoire, comme rendant témoignage, comme convainquant, et qui, ayant quitté, les cieux après que le Sauveur fut monté, a pris place, en vertu d'une rédemption accomplie, au milieu de ceux qui confessent le nom de Jésus et qui attendent son retour, et agira désormais et pour toujours dans les disciples et avec eux. Quand Jésus était ici-bas, lui seul Jésus pouvait parier de son corps comme étant le «temple de Dieu» (Jean 2); mais à présent, ayant enduré la colère de Dieu et annulé par la mort le pouvoir de Satan, Jésus a pu, avec justice, envoyer de la droite du Père, ici-bas, le Saint Esprit promis pour demeurer dans les fidèles sur la terre. «Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l'Esprit de Dieu habite en vous» (1 Corinthiens 3: 16) ?

En principe donc, la venue de l'Esprit promis dépendait du départ de Jésus, et, de fait, ce fut lorsque Jésus prit place, comme l'homme glorifié, dans les cieux, que l'Esprit fut envoyé sur la terre. Rassemblé avec les disciples, avant son ascension, Jésus «leur commanda de ne point partir de Jérusalem, mais d'attendre la promesse du Père, laquelle, dit-il, vous avez ouïe de moi: car Jean a baptisé avec de l'eau, mais vous serez baptisés de l'Esprit saint dans peu de jours» (Actes des Apôtres 1: 4, 5). Le chapitre 2 de ce même livre des Actes raconte l'accomplissement de la promesse le jour de la Pentecôte. Le Consolateur fut donné. La troisième personne de la Trinité demeura dès lors, d'une manière permanente, dans ceux qui croyaient, aussi véritablement, que la seconde personne avait été avec eux avant son ascension au ciel. Le Saint Esprit était le grand témoin de la glorification de Jésus dans les cieux, comme sa présence dans les disciples en était le fruit nouveau et merveilleux.

Les opérations de l'Esprit de Dieu, dès le commencement, sont-elles niées par cette glorieuse vérité? Nullement. La création, la providence et la rédemption parlent toutes de Lui. L'action de l'Esprit se manifeste dans toutes les sphères des opérations de Dieu et les pénètre. Qui est-ce qui se mouvait sur le dessus des eaux (Genèse 1: 2)? Qui est-ce qui plaidait avec les hommes avant le déluge (Genèse 6: 3)? Qui est-ce qui remplit Betsaleël de sagesse, d'intelligence, de science pour toutes sortes d'ouvrages (Exode 36: 31)? Qui est-ce qui donna à Moïse la force de porter la charge d'Israël, ou à d'autres celle de la porter avec lui (Nombres 11: 17, 25)? Par qui Samson agit-il (Juges 13: 25; 14: 6, 19; 15: 14; etc.)? Par qui Saül prophétisait-il? C'était par l'Esprit du Seigneur (1 Samuel 10: 6, 10; comp. 11: 6; 16: 14). Et comme, aux premiers jours de leur histoire nationale, son «bon Esprit» (Néhémie 9: 20), conduisit le peuple, de même le Seigneur a pu, par le prophète, donner au pauvre résidu, après son retour, cette assurance: «La parole de l'alliance que je traitai avec vous, quand vous sortîtes d'Egypte, et mon Esprit demeurent au milieu de vous» (Aggée 2: 5). Y avait-il des âmes régénérées? Elles étaient nées de l'Esprit; et les saints actes de la foi dans les anciens qui obtinrent un bon témoignage (comp. Hébreux 11), étaient, sans contredit, les résultats de l'opération de l'Esprit. A cet égard, la manière d'agir de Dieu est encore et nécessairement la même. Jésus n'a aucunement rendu moins nécessaire l'intervention de l'Esprit. Il a proclamé la nécessité de celle intervention comme une vérité établie et irrévocable: «Si quelqu'un n'est né d'eau et de l'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu» (Jean 3: 5). Mais la vie, la paix, la position d'enfant, bien qu'elles soient toutes communiquées et connues par l'opération efficace de l'Esprit, ne sont en aucun sens la présence du Consolateur. Les disciples possédaient ces priviléges-là avant l'ascension du Seigneur Jésus: la vie, la paix, la position d'enfant sont donc entièrement distinctes de la promesse du Père, que les disciples ne possédaient pas, et que nul ne posséda ni ne pouvait posséder avant que Jésus fût glorifié (Jean 7: 30). La présence du Consolateur est manifestement la bénédiction caractéristique, depuis la Pentecôte. Jamais, avant ce jour, on n'avait joui de cette bénédiction, bien que l'Esprit eût opéré, et qu'Il eût opéré à salut, pour ce qui regarde les croyants, dans tous les temps.

Mais quand Jésus prit place dans les cieux, comme Chef glorifié, le Saint Esprit fut envoyé ici-bas, non seulement pour la bénédiction des croyants individuellement, mais dans le but de les rassembler en un seul corps ici-bas sur la terre. C'est ce corps, et ce corps seul, qui, dans l'Ecriture, est appelé «l'Eglise de Dieu», et l'unité de ce corps, reposant sur le baptême du Saint Esprit, est «l'unité de l'Esprit».

La première mention qui soit faite du mot «l'Eglise», c'est-à-dire l'assemblée, dans le Nouveau Testament, se trouve dans l'évangile de Matthieu chapitre 16: 18. Le Seigneur, dans ce passage, parle de l'Eglise comme d'une chose qui non seulement n'était pas manifestée ni organisée, mais qui n'existait pas encore alors. Elle n'était encore ni bâtie, ni en construction (*). «Sur ce rocher, je bâtirai mon assemblée». Cette assemblée est mentionnée comme une chose entièrement distincte du «royaume des cieux»; c'est de ce royaume des cieux et non de l'Eglise que le Seigneur promit de donner les clefs à Pierre.

(*) Le savant évêque Pearson, dans son exposition bien comme de la confession de foi anglicane, eut l'esprit de voir et la candeur de reconnaître que le Sauveur, parlant pour la première fois de l'Eglise, «la mentionne comme une chose qui alors n'existait pas encore, mais qui devait exister plus tard, disant au grand apôtre: «Et moi aussi je te dis que tu es Pierre; et sur ce rocher je bâtirai mon Assemblée». Mais quand le Seigneur fut monté au ciel et que le Saint Esprit fut descendu, quand Pierre eut converti les 3000 âmes qui furent ajoutées aux 120 disciples, alors il y eut une Eglise; car, après ces choses, nous lisons que: Le Seigneur ajoutait tous les jours à l'assemblée ceux qui devaient être sauvés. Le Seigneur donc avait promis qu'une Eglise serait bâtie, et il avait fait cette promesse avant sa mort; après son ascension, et à la suite de la prédication de Pierre, nous trouvons une Eglise bâtie ou constituée, capable par sa nature d'un accroissement journalier».

Mais, bien que l'unité de l'Eglise, comme corps de Christ, ne doive être parfaitement manifestée que dans la dispensation de la plénitude des temps, alors que Dieu réunira en un toutes choses dans le Christ, tant les choses qui sont dans les cieux que celles qui sont sur la terre (Ephésiens 1: 10), il devait y avoir, selon les desseins de Dieu, un témoignage de cette unité, produit et manifesté par la puissance du Saint Esprit, dans le «seul corps», sur la terre. Quand l'apôtre parle des saints, comme étant «édifiés ensemble pour être une habitation de Dieu par l'Esprit» (Ephésiens 2: 22), il n'a pas en vue une chose idéale ou future, qui doive être achevée seulement dans les cieux. C'est d'un fait actuel qu'il parle, d'un fait présent, accompli par la présence du Saint Esprit, envoyé du ciel. Aussi lisons-nous un peu plus loin dans la même épître: «Afin que la sagesse de Dieu, si diversifiée dans ses formes, soit maintenant donnée à connaître aux principautés et aux autorités dans les lieux célestes par l'Assemblée» (Ephésiens 3: 10). Et «l'unité de l'Esprit» que les saints devaient s'efforcer de maintenir, où était-elle, sinon sur la terre? Les saints étaient là, et là aussi étaient les apôtres et prophètes, les évangélistes, les pasteurs et les docteurs donnés par Christ lui-même, «monté au-dessus de tous les cieux». C'est là, sur la terre, que se poursuit le perfectionnement des saints, l'oeuvre du ministère, et l'édification du corps de Christ. C'est sur la terre que nous rencontrons «la tromperie des hommes, dans leur habileté à user de voies détournées pour égarer» (Ephésiens 4: 14), et c'est sur la terre que nous «croissons en toutes choses jusqu'à Lui qui est le Chef, le Christ; duquel tout le corps bien ajusté et lié ensemble par chaque jointure de fournissement, produit l'accroissement du corps, pour l'édification de soi-même en amour». C'est dans ce monde, et dans ce monde seulement que, «tout le corps, fourni et bien uni ensemble par des jointures et des liens, croit d'un accroissement de Dieu» (Ephésiens 4: 10-16), comme aussi c'est assurément sur la terre que nous sommes appelés à être gouvernés dans nos coeurs par la paix du Christ, «à laquelle aussi vous avez été appelés en un seul corps» (Colossiens 3: 15).

Aussi encore, dans l'épître aux Romains, chapitre 12: 4, 5, l'apôtre écrit aux saints qui, comme les Colossiens, n'avaient jamais été visités par lui, et qui par conséquent, à la vue des hommes, ne se trouvaient dans aucune relation particulière avec lui, leur disant: «Comme nous avons plusieurs membres en un seul corps, et que tous les membres n'ont pas la même action, ainsi nous qui sommes plusieurs, sommes un seul corps en Christ, et chacun réciproquement les membres l'un de l'autre». Paul ne parlait évidemment pas d'un lien qui allait être formé, mais il parlait d'une relation déjà existante. On n'est pas membre d'une église locale, mais de l'Eglise, du corps de Christ (Actes des Apôtres 2: 47); bien que, d'un autre côté, si l'on n'est pas en communion avec l'assemblée des membres de Christ là où l'on se trouve, on ne peut avoir nulle part ailleurs de communion avec eux.

Rien ne peut être plus explicite que cette déclaration du chapitre 12, de la première épître aux Corinthiens: «Mais un seul et même Esprit opère toutes ces choses, distribuant à chacun en particulier ses dons comme il lui plaît. Car de même que le corps est un et a plusieurs membres, mais que tous les membres de ce seul corps, quoiqu'ils soient plusieurs, sont un seul corps, ainsi aussi est le Christ. Car aussi nous avons tous été baptisés d'un seul Esprit pour être un seul corps, soit Juifs, soit Grecs, soit esclaves, soit libres; et nous avons tous été abreuvés pour l'unité d'un seul Esprit». La composition de ce seul corps dépend (est l'effet) du baptême du Saint Esprit. Nous sommes baptisés de l'Esprit pour être le corps de Christ, que nous soyons Juifs, gentils, esclaves ou libres, peu importe. Jésus exerce ses droits célestes; il baptise du Saint Esprit; et ceux qui sont ainsi baptisés deviennent le champ immédiat et spécial de sa présence et de ses opérations, — «le corps de Christ». Les diversités de dons, d'administrations et d'opérations n'existent pas au ciel: leur sphère, c'est l'Eglise sur la terre. C'est là que la manifestation de l'Esprit est donnée à chacun (dans l'Eglise) pour le profit de tous. C'est le seul et même Esprit qui opère tous ces dons, les distribuant à chaque membre comme il lui plaît. Car les membres qui sont plusieurs ne constituent qu'un seul corps. — «Nous avons tous été baptisés d'un seul Esprit pour être un seul corps». On sentira davantage l'importance de ces dernières paroles, en les comparant avec les versets 4 et 5 du chapitre 1 des Actes, et surtout avec la fin de ce dernier verset: «Vous serez baptisés de l'Esprit saint dans peu de jours». Les disciples étaient croyants, au temps auquel ces paroles furent prononcées: ils avaient la vie, et ils avaient la vie en abondance. Jésus, l'Esprit vivifiant, avait soufflé sur eux en leur disant: «Recevez l'Esprit saint» (Jean 20: 23). Jésus leur avait aussi ouvert l'intelligence pour comprendre les Ecritures (Luc 24: 45). Mais rien de tout cela n'est le baptême du Saint Esprit. Ce n'est qu'à la Pentecôte que l'on vit l'accomplissement de la promesse du Père. Alors, et pas avant, les croyants furent baptisés de l'Esprit. Mais c'est ce baptême qui introduit dans le «seul corps» et qui le forme. C'est l'Esprit ainsi présent et baptisant qui a commencé et organisé le corps de Christ, et qui le recrute. Ainsi aussi est-ce en rapport avec le baptême du Saint Esprit que nous entendons parler pour la première fois, dans l'Ecriture, de ce nouveau corps et de la position de membre dans ce corps. Quels que fussent les privilèges (et ils étaient nombreux) qui existaient auparavant, ce qui, dans l'Ecriture, est distinctivement appelé «l'Eglise de Dieu», apparut ici-bas, comme la conséquence de la descente du Saint Esprit envoyé du ciel, demeurant dans les disciples et les baptisant, Juifs ou gentils, en un seul corps.

L'apôtre, sans doute, s'adresse à l'Eglise de Dieu qui était à Corinthe, et il est très clair que le Nouveau Testament parle fréquemment d'assemblées dans telle ou telle localité, c'est-à-dire d'«églises» (comp. Romains 16: 1, 5; Galates 1: 2, 22; Colossiens 4: 15, 16; 1 Thessaloniciens 1: 1; 2: 14; etc.). Mais à côté de ces passages nous en trouvons d'autres, tels que: Actes 2: 47; 1 Corinthiens 10: 32; 12: 28; 15: 9; Ephésiens 1; 2; 3, etc.; Colossiens 1; 1 Timothée 3: 15, qui nous fournissent des exemples d'une autre signification très importante du mot «église», comme on peut le voir dans les épîtres de Paul, l'Eglise y étant envisagée comme un corps ici-bas d'une étendue égale au baptême de l'Esprit. Ainsi pour ne mentionner qu'un seul de ces passages, toute cette société ou corporation, dans laquelle l'Esprit habitait et opérait, était l'assemblée dans laquelle Dieu plaçait des apôtres, des prophètes, des docteurs, etc. Assurément on ne dira pas que Dieu avait placé tous ces dons dans l'assemblée de Corinthe, et on ne soutiendra pas davantage qu'il doive les placer dans l'Eglise universelle, rassemblée dans les cieux. Il y a donc un sens étendu du mot «église», selon lequel «l'Eglise» embrasse dans son unité tous les membres de Christ, existant à un même moment dans le monde, quelles que soient les distances qui les séparent corporellement, et cela en vertu d'un seul Esprit les baptisant en un seul corps. Le corps de Christ, comme le corps naturel, est susceptible d'accroissement; mais, comme dans le corps naturel, l'identité subsiste alors que les anciens éléments constitutifs ont fait place à de nouveaux éléments: de même le corps de Christ est toujours le corps, quels que soient les changements qui s'opèrent dans les membres en particulier. Celui qui, par sa présence, a communiqué au corps l'unité, à son commencement, conserve cette unité par sa fidèle présence. Le Saint Esprit fut donné pour demeurer avec les disciples à jamais (Jean 14: 16).

Enfin, par «l'Eglise», il faut entendre, non l'agrégation de diverses sociétés coordonnées (bien moins de sociétés en opposition les unes avec les autres), mais un corps, le seul corps de Christ, ayant les mêmes privilèges, le même appel, la même responsabilité sur la terre, et attendant la même gloire dans le ciel comme Epouse de Christ. Quand un homme était baptisé par le Saint Esprit, il devenait par ce fait membre de l'Eglise de Dieu; s'il possédait un don, il devait l'exercer, selon la mesure de la foi, pour le bien de tout le corps: ni le ministère, ni la relation de «membre» n'appartenaient à une église, mais à L'Eglise; chaque jointure appartenant au corps entier, et le corps entier à chaque jointure.

Comme Israël, autrefois, a été infidèle à sa vocation, ainsi en est-il de la chrétienté maintenant. Le gentil n'a pas persévéré dans la bonté de Dieu, et, par conséquent, il n'a pas d'autre perspective que celle d'être retranché, quand le moment déterminé par la sagesse de Dieu sera venu (Romains 11: 22), Mais comme autrefois les hommes pieux s'attachaient aux anciens oracles donnés aux Juifs, ainsi Dieu et sa parole sont maintenant aussi la joie et la règle du croyant. Si les catholiques et les protestants ont été, de différentes manières et à des degrés différents, infidèles à la Parole et au Saint Esprit; si le fondement scripturaire, sur lequel repose l'Eglise de Dieu, a été partout perdu de vue en principe et abandonné en pratique, il est d'autant plus nécessaire, pour la gloire du Seigneur, que ceux qui le craignent et qui aiment son nom, cherchent sans retard et à tous égards à échapper au mal régnant qu'ils connaissent, et qu'ils se soumettent sans réserve à la volonté révélée de Dieu. Rien ne peut justifier la persévérance dans un péché connu. Et si Dieu a donné le nom du Seigneur Jésus, non seulement pour le salut, mais pour centre de son assemblée sur la terre, par la connaissance de la présence et de l'opération de l'Esprit au milieu d'elle, est-ce que tout autre centre d'union quelconque n'est pas un centre rebelle ou rival que tout chrétien est tenu de renier? Quelle est donc notre ressource, et qu'est-ce que le Seigneur a préparé pour nous? «Là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d'eux» (Matthieu 18: 20)!