Fragments

 

Fragments. 1

ME 1870 page 320 - Darby J.N. 1

ME 1870 page 478. 1

 

ME 1870 page 320 - Darby J.N.

La possession de la vie n'est pas la puissance de la vie. La puissance de la vie se trouve en Christ seul; car le caractère du nouvel homme est d'être dépendant et obéissant. Si vous dites que vous possédez la vie de la part de Dieu, et qu'en conséquence vous avez la puissance de cette vie, vous ne dites pas vrai. Mais si vous parlez ainsi: «J'ai reçu de Dieu la vie; seulement Satan et le monde m'entourent de tentations et de pièges pour me détourner de la pratique de cette vie»; et si vous criez à Dieu en lui disant: «Père, garde-moi; j'ai besoin que tu me gardes, alors, vous aurez véritablement la puissance de la vie de Christ».

 

ME 1870 page 478

Dans le cas d'Israël, l'homme avait été mis à l'épreuve sur le terrain de l'obéissance à Dieu, et il n'avait pas été capable d'obtenir la bénédiction qui aurait été le résultat de l'obéissance. Alors Dieu abandonna ce gouvernement direct du monde, quoiqu'en restant toujours souverain Seigneur dans le ciel; et rejetant le peuple élu avec les nations qui étaient à l'entour, et son propre trône qu'il avait placé là, il assujettit le monde à un seul chef, mettant l'homme ainsi à l'épreuve, afin de voir s'il reconnaîtrait le Dieu qui lui avait donné le pouvoir pour qu'il rendît heureux ceux qui lui étaient assujettis alors qu'il peut faire ce qu'il veut dans le monde. Cet état de choses commença avec Nébucadnetsar, la tête de la statue, image du système du pouvoir impérial. Nous savons que l'homme faiblit ici aussi. Mais le Seigneur Christ réunira dans sa personne ces deux gloires: il sera l'homme auquel toute la domination sera donnée, et sous lequel Israël en même temps que les différentes nations et leurs rois, sera rétabli chacun dans son propre pays et son propre héritage comme avant le temps de Nébucadnetsar, à l'exception d'Edom, de Damas, de Hatzor et de Babylone elle-même (je parle ici de ces nations qui occupent le territoire d'Israël, et de Babylone qui avait absorbé et pris la place de toutes les autres, et qui doit disparaître par le jugement de Dieu pour rendre à celles-ci la place qu'elles avaient eu jadis).