Pensées

 

Pensées. 1

ME 1893 page 20. 1

ME 1893 page 100. 1

ME 1893 page 160. 1

ME 1893 page 200. 2

ME 1893 page 260. 2

ME 1893 page 332. 2

ME 1893 page 351. 2

ME 1893 page 358. 2

ME 1893 page 400. 2

ME 1893 page 440. 2

ME 1893 page 478. 3

 

ME 1893 page 20

Ce qui nous empêche de nous réjouir (Philippiens 4: 4), c'est, non pas des difficultés, mais des coeurs partagés. S'il va avec le monde, le chrétien a à subir les reproches de sa conscience. S'il rencontre des chrétiens spirituels, il est mal à l'aise avec eux. De fait, il n'est heureux nulle part.

ME 1893 page 100

La prophétie est la politique de Dieu; — elle nous sauve de la politique de l'homme, — une grande grâce.

ME 1893 page 160

Il n'est pas une vanité, pas un bout de ruban ou quelques pièces de monnaie, qui n'aient plus de pouvoir sur le coeur de l'homme, que tout ce que Christ est ou a fait.


Si Christ est ressuscité, ses saints doivent l'être aussi, car une tête ne peut être ressuscitée sans son corps; ce serait monstrueux.


La foi d'Abraham avait tout laissé, sa chair ne trouvait rien en échange.

ME 1893 page 200

Nous avons moins à juger ce qui est mal dans ce monde, qu'à faire ce qui est bien. La position d'Abraham jugeait plus réellement le mal, que l'affliction de Lot.

ME 1893 page 260

En Philippiens 1, l'apôtre avait à choisir ou Christ et le service ici-bas, ou Christ et le repos là-haut.


L'écharde n'était pas la puissance, mais le chemin de la puissance. La chair est brisée complètement, afin que Christ puisse se manifester.

ME 1893 page 332

Le chrétien est environné de certitudes.

ME 1893 page 351

Luther disait du clergé: «Ils ne sont pas gens à savoir ce que Dieu est et ce que nous sommes».

ME 1893 page 358

Il est toujours parlé du Saint Esprit comme étant maintenant sur la terre, et c'est ce qui donne à l'Eglise de Dieu son vrai et tout spécial caractère.

ME 1893 page 400

Constamment le coeur de l'homme attend que Dieu lui rende témoignage à lui-même, mais Dieu rend témoignage à son Fils et non à ce que nous sommes. Si Dieu rendait témoignage à notre égard, ce serait à notre péché et à notre incrédulité. Il est de toute importance de voir que si Dieu rend témoignage, c'est à son Fils et à ce qu'il est pour le pécheur. En croyant cela, vous avez la paix.

ME 1893 page 440

«Si du moins nous retenons ferme jusqu'au bout le commencement de notre assurance» (Hébreux 3: 14). Si je retiens, je suis digne de confiance. Il faut qu'à tout moment je sois dans une dépendance positive. J'apprends cela. La misère de l'état du coeur est que, quant à sa volonté, l'homme est devenu indépendant. Toute notre affaire est d'en arriver à dépendre absolument d'une fidélité infaillible et d'un amour intarissable, pour nous amener au but.

ME 1893 page 478

Il y a la culpabilité et la connaissance de soi-même: Je suis coupable — et: Je suis perdu!


Quand l'Eglise professante prend ici-bas le caractère du «camp», la place du fidèle est nécessairement dehors.


Le Père a un monde à lui, qu'il nous a donné; monde dans lequel il a introduit Christ, pour qu'il en soit le centre: c'est la nouvelle création.