Réponse à un correspondant

 ME 1893 page 420

 

Quelques frères ont cru voir une contradiction entre ce qui est dit dans le no 8 du Messager, «Un mot sur le baptême», surtout à la page 148, et au no 12, page 221. Cette contradiction n'existe point.

Dans la lettre sur le baptême, on a simplement cherché à montrer que le baptême étant, d'après la Parole, l'introduction dans la profession chrétienne, il convient qu'une personne ait été baptisée pour qu'elle puisse rompre le pain. «Je ne puis qu'approuver les frères qui désirent qu'avant de rompre le pain, ceux qui veulent y participer soient baptisés, s'ils ne l'ont pas été». Il n'est pas question d'enfants, ni d'adultes.

Dans l'article «le Sentier de Dieu», on a voulu faire voir que si, pour être reçu dans une assemblée, on imposait la condition de n'admettre que le baptême des adultes, on tomberait dans le sectarisme, ce qui arrive chez ceux que l'on nomme baptistes.

Il n'y a donc aucune contradiction entre les deux articles.