Tout ce qui pouvait intervenir entre le pécheur et Dieu a été entièrement ôté: Le fardeau du péché sur l'âme; la colère de Dieu contre le péché; la puissance de Satan; la faiblesse de l'homme dans la mort.
La croix établit la justice par laquelle la grâce règne.
Il est mort pour moi; c'est sur quoi je me fonde. Il a ôté mes péchés; c'est ce dont j'ai besoin. Il revient;
c'est ce que j'espère.
Il est bon d'avoir
affaire à Dieu, et de le voir, Lui, dans le jugement, quoiqu'il soit un
feu consumant.
La résurrection est
en somme la pleine et parfaite délivrance de tout l'effet et de toutes les
conséquences du péché. Elle montre en même temps que ce à quoi Dieu nous a
prédestinés est un état aussi bien qu'une condition de choses entièrement
nouveaux.
Il est à remarquer avec quel soin, bien qu'il soit parlé de la nouvelle nature, le mysticisme est mis de côté en 1 Jean 4. Non seulement les versets 9 et 10 le font positivement, mais aussi les versets 11 et 16 — c'est «Dieu qui nous aima», c'est «l'amour que Dieu a pour nous».