Pensées

 

Pensées. 1

ME 1901 page 20. 1

ME 1901 page 100. 1

ME 1901 page 120. 1

ME 1901 page 140. 1

ME 1901 page 220. 2

ME 1901 page 236. 2

ME 1901 page 260. 2

ME 1901 page 280. 2

ME 1901 page 320. 3

ME 1901 page 360. 3

ME 1901 page 413. 3

ME 1901 page 457. 3

 

ME 1901 page 20

Il nous faut faire de Christ l'objet essentiel que recherchent nos âmes; le contraire serait le déclin inévitable de notre vie spirituelle.

ME 1901 page 100

Dieu lui-même est la mesure de la marche du nouvel homme et Christ en est la manifestation.

ME 1901 page 120

Sous la loi je juge ce que Dieu sera pour moi, d'après ce que je suis; sous l'Evangile, d'après ce que Lui est.

ME 1901 page 140

Ma conscience n'est pas mauvaise lorsque je marche à la hauteur de la lumière que je possède. Que la chair soit en moi, ne me donne pas une mauvaise conscience, oui bien si la chair agit.

ME 1901 page 220

Le corps est la sphère dans laquelle tout le mal a été accompli; mais le Seigneur dit: J'ai racheté le corps; il faut qu'il soit maintenant ma sphère à moi, mon jardin; il a produit toute l'ivraie que Satan y avait semée; il faut désormais qu'il produise pour moi des fleurs et des fruits.


La puissance de Dieu convient à la faiblesse des saints et la faiblesse des saints convient à la puissance de Dieu. Elles s'adaptent donc l'une à l'autre.

ME 1901 page 236

Si nous abandonnons l'état chrétien, à quoi nous servira la position chrétienne? Satan nous l'aura bientôt fait perdre de vue. C'est ce qui était arrivé aux Ephésiens, dont il nous est dit dans l'Apocalypse qu'ils avaient «abandonné leur premier amour».

ME 1901 page 260

Lorsque j'entends dire: «Je ne vois pas qu'il y ait du mal à cela», je réponds: «C'est parce que vous n'avez pas assez appris à connaître le bien». C'est aussi pourquoi un chrétien mondain traversera le monde plus facilement et se fera moins de mal en le traversant qu'un chrétien plus fidèle. Il n'y a que le coeur mondain qui puisse dire: «Je ne trouve pas que cela me fasse du mal».


Il ne faut pas que vous méprisiez vos corps, car Dieu les a formés. Méprisez la chair tant que vous voudrez, mais la chair n'est pas notre corps. Nos corps sont les «membres de Christ». La chrétienté a commis une grave erreur en faisant de nos corps les membres de l'Eglise, ce qui est absolument contraire à l'Ecriture. «Nous sommes membres de Son corps, de sa chair et de ses os».


Nous devrions nous demander quant à ce qui nous occupe jour après jour: «Est-ce Christ? Est-ce l'aliment propre pour nos âmes? Sommes-nous satisfaits de nous nourrir de Christ — satisfaits de ce qui est la nourriture de Dieu, de ce qui Le satisfait pleinement?» Oh! puissions-nous rechercher toujours plus ici-bas, ce qui fera toute notre jouissance durant l'éternité!

ME 1901 page 280

«Qui est aveugle, si ce n'est mon serviteur, et sourd, comme mon messager que j'ai envoyé?» On a dit que personne n'exerce mieux son ministère dans une assemblée qu'en s'y présentant comme étranger, ne connaissant rien des troubles qui l'agitent. Si je viens à vous, sortant de la présence de Dieu, peut-être ne saurai-je pas tout ce que vous avez fait, mais je connaîtrai la pensée de Dieu à votre égard.


Si je marche avec Dieu dans le désert, je serai satisfait de la seule nourriture qu'il me procure, c'est-à-dire de Christ.


La vie nouvelle dans le croyant ne peut être nourrie et entretenue que par Christ.

ME 1901 page 320

Pharaon et Amalek représentent deux puissances, deux influences différentes. Pharaon est pour Israël l'obstacle à sa délivrance du pays d'Egypte; Amalek est l'obstacle à sa marche avec Dieu, à travers le désert. Pharaon se servait des choses de l'Egypte pour empêcher Israël de servir l'Eternel; il préfigure Satan qui se sert du «présent siècle mauvais» contre le peuple de Dieu. Amalek, d'autre part, est comme un type de la chair. Il était petit-fils d'Esaü «qui pour un seul mets vendit son droit de premier-né» (Genèse 36: 12). Il fut le premier qui s'opposa à Israël après que le peuple eut été «baptisé dans la nuée et dans la mer».


 «Nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés» (Romains 8: 37). La grâce dans laquelle nous sommes, ôte à la chair toute puissance pour dominer sur nous. Si la loi est «la puissance du péché», la grâce en est la faiblesse. La loi donne au péché pouvoir sur nous, la grâce nous donne pouvoir sur le péché.

ME 1901 page 360

La manne était si pure et si délicate qu'elle ne pouvait supporter le contact de la terre. Elle descendait sur la rosée (Nombres 11: 9), et il fallait la récolter avant le lever du soleil. Chacun devait donc se lever au matin pour chercher sa nourriture journalière. Il en est ainsi maintenant du peuple de Dieu. La manne céleste doit être récoltée toute fraîche chaque matin.

ME 1901 page 413

Il y a une gloire commune que Christ nous a acquise à tous; il y a aussi des récompenses du service.

ME 1901 page 457

Nous sommes morts au péché; il n'a donc aucun droit sur nous.