Fragments

 

Fragments. 1

ME 1909 page 20 : Koechlin M. 1

ME 1909 page 80 : Koechlin M. 1

ME 1909 page 240 : Koechlin M. 1

ME 1909 page 260 : Koechlin M. 2

ME 1909 page 280. 2

ME 1909 page 320 : Koechlin M. 2

ME 1909 page 400. 2

ME 1909 page 460 : Koechlin M. 3

 

ME 1909 page 20 : Koechlin M.

L'homme religieux cherche à mettre la Parole d'accord avec sa propre volonté, au lieu de faire dépendre sa volonté de la Parole.


L'Esprit conduit dans toute la vérité; Satan plonge dans l'erreur. L'homme abandonné a lui-même confond la vérité et l'erreur.

ME 1909 page 80 : Koechlin M.

Déloger, pour le croyant, c'est partir en paix pour entrer dans le paradis.


Qu'est-ce que la gloire pour le chrétien? C'est Christ!

ME 1909 page 240 : Koechlin M.

Dieu parle à l'homme de plusieurs manières: comme maître et seigneur il proclame par la création, sa gloire (Psaumes 19: 1); sa puissance (Romains 1: 20); et sa sagesse (Proverbes 3: 19).

Il avertit en patience par les événements et par les circonstances (Job 34: 14).

Il parle en grâce et en amour dans son Fils (Hébreux 1: 2).


Le Seigneur est venu, petit enfant dans une crèche; il reviendra comme le Fils de l'homme avec les nuées. Il était ignoré des hommes; tout oeil le verra. Il apportait la grâce; il exercera le jugement. Sa venue était annoncée par les anges comme un grand sujet de joie, la paix sur la terre; à son retour, toutes les tribus de la terre se lamenteront et tous les hommes seront troublés (Luc 2; Apocalypse 1; Matthieu 24).

ME 1909 page 260 : Koechlin M.

(2 Samuel 9: 3) «N'y a-t-il plus personne de la maison de Saül? et j'userai envers lui d'une bonté de Dieu», dit David (verset 7): «Et tu mangeras continuellement le pain à ma table». N'est-ce pas, en effet, ainsi qu'agit la bonté de Dieu: elle cherche un misérable boiteux, un ennemi, pour l'introduire dans sa présence, à sa table. Cette bonté ne se trouve pas dans le coeur naturel de l'homme. Seul celui qui l'a éprouvée pour lui-même, la connaît, et il faut en être pénétré pour l'exercer envers les autres.

ME 1909 page 280

Si la présence du Seigneur dans notre rassemblement, dépendait de nous, il serait souvent absent, mais elle dépend de Lui, et il est toujours là.

ME 1909 page 320 : Koechlin M.

C'est par les sens que l'homme dans la chair perçoit tout ce qui est du monde et qu'il en jouit. La foi est pour l'homme régénéré comme un sens nouveau et unique, par lequel il participe à ce qui est céleste et pénètre même dans les choses profondes de Dieu.

ME 1909 page 400

Si nous sommes en Christ, Christ est donc en nous. Il paraît pour nous «devant Dieu»; nous devrions donc paraître pour Lui devant le monde. Il n'est pas dit: «Vous devez être»; mais vous êtes la lettre de Christ»; c'est là notre responsabilité. Vous ne pouvez devenir mon enfant, quelque semblable à mon enfant que vous puissiez être. La question est si vous vous trouvez dans cette position. Pour nous, nous sommes la lettre de Christ. Que le Seigneur nous donne, dans les choses ordinaires de la vie, de connaître nos obligations envers Celui qui nous a aimés d'un tel amour.


Colossiens 1: 9, 10

Il est bien remarquable de voir qu'il n'y a pas ici de direction quant aux détails de la marche, mais qu'il est dit: «Que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté… pour marcher». Est-ce que vous l'êtes? Combien souvent nous ne savons pas si nous sommes dans le droit chemin, même quand c'est là notre désir. Voyons-nous le sentier à travers le désert? Voilà la pierre de touche de notre état; car «c'est un sentier que l'oeil de l'aigle n'a pas aperçu». Si nous devons «marcher d'une manière digne du Seigneur», il faut que nous soyons «remplis de la connaissance de sa volonté». Le monde devrait pouvoir lire Christ en nous aussi distinctement que les dix commandements sur les tables de pierre, selon la comparaison de l'apôtre.

ME 1909 page 460 : Koechlin M.

Nous devrions marcher, ici-bas, ayant Christ devant nos coeurs comme seul mobile de nos actions et de notre vie.


L'évangile de Jean conserve d'un bout à l'autre ce caractère: c'est le Fils unique qui est dans le sein du Père qui le fait connaître; et s'il dit à la fin: «Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu», c'est, sans aucun doute, parce qu'il avait accompli l'oeuvre de la rédemption qui nous donne le droit d'être enfants de Dieu; mais cela ne nous dit-il pas aussi qu'il nous a pleinement révélé le Père?