Pensées

 

Pensées. 1

ME 1909 page 200. 1

ME 1909 page 240. 1

ME 1909 page 260. 1

ME 1909 page 280. 2

ME 1909 page 299. 2

ME 1909 page 320. 2

ME 1909 page 325. 3

ME 1909 page 360. 3

ME 1909 page 420. 3

 

ME 1909 page 200

Les sentiments que nous éprouvons ne doivent pas être pour nous un motif de sécurité ajouté à notre foi; ce ne serait qu'une propre justice plus raffinée.


C'est déshonorer Christ, de douter que son sang nous purifie de tout péché.


C'est mettre la charrue devant les bœufs, comme on dit, que de chercher la sainteté, pour avoir Christ, au lieu de chercher Christ pour avoir la sainteté.

ME 1909 page 240

De nos jours, on court grandement le risque de compromettre la vérité pour l'amour de l'union, et nous devons nous en garder avec soin. On n'obtient pas de véritable union aux dépens de la vérité. Maintenir la vérité à tout prix, telle doit être la devise du chrétien.

ME 1909 page 260

Si je prétends ajouter par mes oeuvres quelque chose à ma justification, elle ne serait plus une pure grâce (Romains 4: 4, 5).

ME 1909 page 280

Ce qui frappe dans les voies de Dieu, c'est le soin qu'il prend d'agir en détail sur nos coeurs, pour nous donner une connaissance de nous-mêmes selon lui… Cette expérience de nous-mêmes est nécessaire, non pour être sauvés, mais pour nous connaître selon Dieu, et pouvoir être en communion avec lui. Ces expériences peuvent être tristes, angoissantes, mais elles sont profitables et nous affermissent dans la paix. Elles découvrent en nous des choses inattendues et nous instruisent d'une manière salutaire.

ME 1909 page 299

La foi en l'oeuvre de Christ va bien plus loin que notre acceptation de cette oeuvre, quelque heureuse qu'elle soit. C'est la foi que Dieu a accepté l'oeuvre.


Trouver une justice qui n'est ni de nous, ni en nous-mêmes, mais trouver Christ devant Dieu, notre volonté orgueilleuse se soumettant, par la grâce, à recevoir le salut parce qu'il n'est ni de nous, ni en nous-mêmes, — c'est là ce que Dieu appelle «se soumettre à la justice de Dieu».


C'est la fin de notre carrière qui présente à l'Ennemi la meilleure occasion pour accomplir ses desseins, parce que toute notre vie, contemplée à la lumière de Dieu, offre toujours un nombre infini de choses à reprendre.


L'effet du christianisme, en réveillant notre conscience, est de nous replacer sous le joug de la loi, si nous n'avons pas les yeux attachés sur Christ.


Plus nous voyons et sentons l'amour infini et inexprimable de Dieu pour nous, plus notre coeur est humilié, car l'amour et l'orgueil sont incompatibles.


Dieu, après avoir connu et pesé mes péchés, a donné pour moi son Fils dont le sang était nécessaire à leur expiation.

ME 1909 page 320

De nos jours, on court grandement le risque de compromettre la vérité pour l'amour de l'union et nous devons nous en garder avec soin. On n'obtient pas de véritable union aux dépens de la vérité. Maintenir la vérité à tout prix, telle doit être la devise du chrétien.


Combien de fois ne nous arrive-t-il pas de nous imaginer, ou même d'affirmer, que la nuée se meut dans la direction et selon la pente de nos désirs. Nous désirons faire une chose, réaliser un projet, et nous cherchons à persuader, à nous et aux autres, que notre volonté est la volonté de Dieu.


Notre heureux, notre saint devoir, est de nous soumettre aux Ecritures, de reconnaître, d'une manière absolue et implicite, leur autorité divine.


Il y a des moments, où ce serait une déloyauté manifeste envers notre Seigneur Jésus Christ, de prêter l'oreille, ne fut-ce qu'un seul instant, à la voix des relations naturelles.

ME 1909 page 325

La vie de Christ m'est communiquée, et c'est un fait non moins réjouissant que celui du sang de Christ versé pour moi, qui me met en paix quant à la condamnation.

ME 1909 page 360

La communication de la vie de Christ ressuscité me donne à la fois l'expérience de la sainteté de Dieu et de l'état de mon coeur. C'est une source de combats et d'angoisses, mais aussi de joie.


Dieu s'est révélé aux patriarches comme le Tout-Puissant; aux Juifs, comme l'Eternel, Jéhovah. Dans le millénium, il se révélera comme le Très-Haut; mais ceux qui sont cohéritiers de Christ, le connaissent maintenant comme Père.


Les vingt-quatre anciens sont plus heureux en adorant, prosternés sur leur face, qu'en portant leurs couronnes, assis sur des trônes. Il est plus heureux de l'adorer que d'être soi-même en honneur.

ME 1909 page 420

Le pardon de mes péchés n'a pas mes besoins pour mesure, bien qu'il y réponde, cela va sans dire; mais il est selon les richesses de la grâce de Dieu.